Un beau matin d’avril, j’ai appris que je t’attendais, j’étais folle de joie de savoir que je portais la vie en moi…
Un beau matin de juin, tu m’as donné un coup de pied, l’un des plus émouvants moments de notre vie…
Un pluvieux jeudi d’août, nous avons appris que tu n’allais pas bien…
Tout s’est écroulé autour de nous, l’accouchement était très douloureux, et ton enterrement déchirant….
Aujourd’hui, tu es près de nous, dans notre cœur et dans nos pensées.
Papa et maman qui t’aiment, décembre 2003